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I left the National Park Backpackers as fast as possible, it wasn’t a bad place to stay but I didn’t feel really good there. It’s a backpackers factory without any soul, you can tell that a lot of people are coming and going. I booked a canoe for the Whanganui River by phone on the morning for the 4th of February, I have three days to do 50 kilometres. So I took my time walking on the fisher track, a metalled road going down on a valley surrounding by hills. I ended on a deer farm, I could see some deers far away, it was difficult to get a picture of them. If you have a good eye, you can see them nearby a tree, but hard to tell. I walked onto a road farm looking for a spot to pitch my tent, but no spot. It’s difficult in New Zealand everything is fenced, even to get to the stream to fill my water bag was kind of difficult. I found a farm house without anyone and took the decision to pitch my tent behind it, I hope no one is going to tell me off.

Je viens de quitter le National Park Backpacker, ça n’a pas été bien difficile et c’est bien la première que cela m’arrive depuis que j’ai commencé la traversé. Non pas que les gérants soient odieux, mais ce genre d’usine à touristes me met hors de moi et me répugne. J’ai profité avant de partir de réserver un canoë pour le 4 Février, me laissant trois jours pour parcouru 50 kilomètres et rejoindre Whakahoro. Je peux donc prendre mon temps et profiter du paysage. J’emprunte le Fisher Track qui n’est autre qu’une route forestière traversant une magnifique vallée bordée de collines. La route atteint une ferme d’élevage de biche et cerfs. Cet élevage est en quelque sorte un parc d’attraction pour riches chasseurs, souvent des Etats-Unis qui viennent établir leur camp de chasse dans une luxueuse villa et chasser des cerfs d’élevage. Je ne cerne pas bien le but, mais apparemment certaines personnes payent pour ça…
Vous pouvez, si avez l’oeil, voir un cerf sur une des photos dans une prairie près d’un arbre, bon courage.
Après une bonne pause sous un arbre où je me suis laissé bercé par la chaleur estivale et une petite brise fraiche, je me suis mis à la lourde tache de trouver un camp pour la nuit. Le problème de la Nouvelle-Zélande c’est que sur le bord des routes il n’y a que des clôtures, et même l’accès au ruisseaux et impossible. Après avoir fait choux blanc sur près de 10 kilomètres, je me suis installé derrière une maison apparemment vide, j’espère que personnes ne viendra me chasser à coup de fusil.