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Lazy morning, I started at 11:30 am. On my way up, I met a bunch of people going down, It’s great to meet some hikers, I feel sometime kind of lonely on this trail. I arrived at the summit 959 metres over the sea level, windy as hell, I stayed some minutes at the top and went to the Pahautea Hut to prepare myself a coffee, hot drink to warm up.
From the Hihikiwi summit, I took the Hihikiwi Track which was muddy, slippery, steep, roots everywhere. Going back on the road was so enjoyable. After some kilometres, trying to catch up on my delay, the sun set down, forcing me to find shelter for the night. I found a field with a opened gate where I pitched my tent.

Grasse matinée, je reprend vers 11 heure 30 frais comme un gardon. En direction du mont Pirongia, je rencontre quelques randonneurs, ça fait une éternité que je n’ai pas vue d’autres randonneurs à part bien entendue Mike que j’ai croisais deux fois. Je me sens parfois très seul sur ce chemin, je rencontre bien entendue des gens, mais avec qui je ne partage pas la même expérience de la Nouvelle-Zélande et la plus grande partie de mon temps je la passe seul à marcher, mais non je ne déprime pas, pas d’inquiétude…
J’arrive au sommet Pirongia, le point le plus haut sur la Te Araroa jusqu’à présent 959 mètres. Le vent est violent, je reste un moment sur le belvédère admirant la vue au dessus de cette forêt impénétrable puis suis forcé de redescendre tant c’est désagréable et glacial de rester percher en plein vent.
Je rejoins le refuge de Pahautea pour me préparer un bon petit café pour me réchauffer. Le chemin de Hihikiwi, partant du sommet du même nom débute par un chemin en bois sur pilotis construit sur bien 2 kilomètres dans la boue, ce sont des étudiants qui ont aidé à sa construction, je pense qu’ils ont du en voir de toutes les couleurs pour placer les structures sur site. Après ce magnifique chemin, la difficulté commence, le chemin retourne à son état primaire, racine, boue, liane et j’en passe. C’est difficile de vous décrire la difficulté de ces chemins mais sachez qu’elle est bien réelle et ce n’est rien comparé au chemin qu’on a l’habitude d’emprunter en France, loin des bon vieux GR français.
Retrouver la route est de nouveau une chance, finalement je commence à comprendre l’enchainement route-forêt…
Quelques kilomètres plus loin je suis forcé de planter le camp dans un champ le soleil a déjà disparu derrière l’horizon et cette journée m’a épuisé.